Casse-toi, pauvre con (suite)

Extrait d’un article de Libération.fr du 25/02/08 :

En face, la défense s’organise. Le chef de file des députés UMP Jean-François Copé a voulu minimiser ce matin la portée de l’invective, jugeant que «cette histoire» avait «pris une ampleur anormale». «Je trouve qu'on en fait beaucoup», a-t-il commenté sur LCI. «Ce qu'on pourrait faire de mieux sur cette histoire, c'est la remettre à ses justes proportions.» Le ministre de l'Agriculture, Michel Barnier, estime que X… avait répondu «d'homme à homme» à quelqu'un qui «l'agressait verbalement».


Quant à Jean-Pierre Raffarin, il estime qu'il s'agit simplement « d'un dialogue privé, d'homme à homme, direct et viril »

Non, il ne s’agit pas de la défense, par deux ministres et un ancien Premier ministre, du professeur de collège qu’un jeune élève de 11 ans avait traité de « connard ». Celui-là, passera en correctionnelle prochainement.

Non, il s’agit de l’homme qui possède le pouvoir de déclencher « le feu nucléaire » : le Président de la République. Faut pas confondre !